Le financier pour l’été
Il fait si chôôôo, qu’il nous pousse des envies ! Kiliikikiii !
Les Négresses vertes en concert gratuit à Manosque en juillet, déjà c’est bon ça, non ?
Comme une saveur années 80, voilà l’été rafraîchit d’un cocktail, les filles sont belles…
Et nous revoici, une fois encore, passagers d’un été sous la lune et les étoiles, foulant notre si belle planète de nos pieds nus et cornés.
2019, année du bluff ! La politique joue au poker, les campeurs sauvages aussi.
Ce sera encore un été champion du plastique, et justement, il en manquait un peu pour faire le tour de Corse sur l’eau sans y mettre les pieds, une digue géante en somme.
Heureusement que baleines et autres cétacés, poissons et oiseaux vont jouer le rôle d’écolos de service en en bouffant une partie qui sera, ainsi, cachée à nos yeux innocents.
Mais que nenni, on va pas jouer la note sombre du monde qui va au chaos. Celle-là, elle s’interprète très bien toute seule, on va tout de même pas lui rajouter des paroles.
Non, parlons plutôt framboise, c’est une idée de Romane, qui fait du woofing chez moi, c’est donc à elle que vous vous plaindrez si ça ne vous plaît pas.
La framboise, quelle bonne idée, j’en avais jamais parlé, pourtant c’est un des fruits rouges de l’été parmi les plus appréciés.
Sauvage en zones montagneuses ou forestières, elle a une place prédominante dans de nombreux jardins.
Nourrir un peu son sol, biner de temps en temps et arroser régulierement sont la garantie d’une récolte abondante qui, selon les variétés, peut avoir lieu deux fois, variétés que l’on nomme « remontantes ».
Sa fragilité en fait un des fruits qui échappent à la spéculation financière. Elle reste ainsi un fruit de cueillette paysanne. Et même s’il en existe des productions à grande échelle, elles sont plutôt rares.
C’est l’anti banquier. La framboise est la preuve que la sphère financière n’a pas encore tout vampirisé… Ah Ah !
Donc, pour fêter ça, je vous propose une petite recette simple de « financiers ».